«Les juges ne peuvent être surveillés par ceux qui les nomment»
| Le Conseil supérieur de la magistrature, tel que le connaissent quatre cantons romands et le Tessin, assure au mieux la bonne marche des tribunaux, estime le professeur Thierry Tanquerel. Jean-François Meylan, président du Tribunal cantonal vaudois, est ouvert à la création d’un tel organe pour la surveillance disciplinaire des magistrats, mais, s’agissant d’autres tâches, il craint les doublons avec des commissions existantes.
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