A l'heure où trois PME sur cinq subissent des pertes à cause du franc fort, les tentatives de produire à moindre coût, soit en augmentant le temps de travail sans contrepartie, soit en versant les salaires en euros, se multiplient. Une vingtaine d'entreprises, selon le syndicat Unia, ont eu recours à l'augmentation des heures de travail non payées à la fin du mois d'août. De son côté, Kurt Regotz, présid...