Sommaire
06.04.2021
Dans ce cas, un requérant vénézuélien avait requis des autorisations de séjour auprès de l’Office cantonal des migrations du canton de Genève. Pour appuyer sa demande, l’intéressé faisait valoir des liens professionnels et personnels avec la Suisse et une imposition basée sur la dépense. La décision de fin de non-entrée en matière du Secrétariat d’Etat aux migrations a fait l’objet d’un recours au Tribunal administratif fédéral.
L’arrêt doit être relevé à juste titre. D’abord, en raison des différences notables entre le droit administratif et le droit pénal. En procédant à une analyse téléologique, le Tribunal conclut à une interprétation large de la présomption d’innocence. Des enquêtes pénales et le comportement du requérant pourraient suffire à justifier une décision négative fondée sur la protection de l’ordre et de la sécurité publique. La capacité contributive du haut dirigeant n’a pas suffi à lui assurer l’octroi d’une autorisation de séjour.
Commentaires sur cet article
Veuillez vous connecter pour ajouter un commentaire
Si vous êtes déjà abonné, veuillez vous connecter.
Les non-abonnés peuvent s'inscrire gratuitement.
Merci pour votre inscription
Vous recevrez un e-mail avec un lien pour confirmer votre inscription.
Aucun commentaire disponible