Depuis sa création, plaidoyer a été un lieu d’échange et de réflexion sur les enjeux juridiques actuels, un point de rencontre pour les idées, les analyses et les débats. Aujourd’hui, je rends hommage à ce projet collectif, qui, depuis quinze ans, a nourri notre pensée, enrichi nos pratiques et éclairé notre lectorat sur des questions essentielles à la compréhension de notre société.
En cette heure de clôture, il est primordial de souligner l’implication de ceux qui ont fait de plaidoyer une revue de qualité, un laboratoire d’idées, et un acteur du débat juridique et politique.
J’adresse tout d’abord ma gratitude la plus sincère à celles et ceux qui ont participé à la production des contenus scientifiques. Vous, les contributrices et les contributeurs qui avez fait briller la revue par vos recherches approfondies, vos analyses rigoureuses et vos propositions novatrices. Votre travail a été un phare pour les juristes, un terrain fertile pour l’émergence de réflexions nouvelles.
Je tiens également à saluer le travail exceptionnel des graphistes Pascale Toschini, Audrey Chevalley et Lucia Ribeiro. Par leur sens du détail et de l’esthétique, elles ont assuré une mise en page soignée et élégante, offrant à notre lectorat une expérience agréable.
Ma reconnaissance va aussi aux initiateurs du projet, René Schuhmacher, l’âme de plaidoyer, qui a su, avec sa vision unique, insuffler à cette revue une énergie indéfectible et un cap clair: celui d’une justice équitable, d’une société équilibrée et d’un accès à la justice pour tous. Son engagement sans faille et sa passion pour la défense des droits humains et des libertés démocratiques ont été une source d’inspiration constante.
Un grand merci aux journalistes et juristes chevronnées Sylvie Fischer et Suzanne Pasquier Rossier, dont l’expérience, la rigueur et l’expertise ont été déterminantes dans le succès de cette revue. Leur travail inlassable et leur capacité à dénicher les bonnes plumes ont permis à plaidoyer de se distinguer comme une référence dans son domaine.
Je ne saurai omettre notre correcteur, Ludovic Roulin, qui, avec une minutie irréprochable, a garanti la qualité rédactionnelle de nos publications. Sa vigilance, son respect des textes et son souci du détail ont été d’une aide précieuse.
Je remercie aussi Steve Reusser, pour son professionnalisme et sa maîtrise de la langue allemande. Il a brillamment assuré la traduction de nos articles et de nos pages de jurisprudence.
Un hommage particulier à Sou’al Hemma, qui a d’abord œuvré en tant que pigiste avant de reprendre en intérim la responsabilité rédactionnelle de plaidoyer à la fin de l’année 2020 (plaidoyer 5/2020, 6/2020, 1/2021 et 2/2021). Son énergie, son engagement et sa passion pour le projet ont permis à la revue de traverser une période difficile avec brio.
Je tiens également à saluer le travail remarquable des journalistes de la revue plädoyer, qui continueront à porter haut le flambeau de la revue dans sa version germanophone. Leur professionnalisme, leur engagement et leur capacité à mener des enquêtes approfondies sont un gage de la pérennité de cette publication.
Cette Der est enfin adressée à notre lectorat. Votre fidélité, votre intérêt et vos retours critiques ont été un moteur, une raison d’avancer, d’améliorer le contenu de la revue et de proposer des analyses toujours plus pertinentes.
Alors que nous tournons cette page, il nous reste l’espoir que le travail accompli dans le cadre de cette revue continuera à nourrir les débats juridiques, à enrichir la réflexion collective et à soutenir, avec constance, les idéaux de justice et d’équité.
Ainsi se conclut cette aventure, mais l’engagement pour une société plus juste, pour un accès égalitaire à la justice et pour le respect des droits et des libertés continuera à guider nos actions et à inspirer nos combats. ❙